O.G.M ?? Vous avez dit O.G.M : Organisation Générale du Mensonge
Pourquoi les O.G.M sont ils l'enjeu d'une bataille sans relâche !
Il y'a ce qui son pro-OGM et d'autre anti-OGM !!!
Et surtout entre les deux tener vos porte monnaie au chaud , une manne de 10 Milliard de dollars US !
Alors
la on comprend mieux les intérêts de certain a ne pas vouloir de
mesures , d'expertisent et autre tests sur les Organismes Génétiquement
Modifiés , on sait jamais que ça se trouve c'est dangereux exemple ça :
Résumé du reportage - documentaire : Arte TV
http://www.vodeo.tv/4-69-1981-argentine-le-soja-de-la-faim.html
Argentine, le soja de la faim
Les conséquences des cultures transgéniques
Click en dessous y'a la vidéo
En 1996, le gouvernement de Carlos Menem
autorise la culture du soja transgénique, le "Roundup Ready", en
Argentine. Produit par la multinationale Monsanto, ce soja a été
manipulé génétiquement pour résister au Roundup, un herbicide fabriqué
par... Monsanto.
Dix ans plus tard, l’appât a fonctionné : profitant
des cours élevés du soja sur le marché, l’Argentine en est devenu le
premier exportateur mondial. La moitié de ses terres arables sont
désormais consacrées à la monoculture de soja transgénique. On parle de
"sojisation" du pays, entraînant de multiples conséquences,
économiques, sociales et environnementales. Les petits producteurs, qui
ne peuvent pas faire face à la concurrence, sont obligés de vendre
leurs terres. La déforestation touche de nombreuses régions.
S’ajoute
un problème inattendu : l’apparition de "soja rebelle", des graines qui
germent hors de la saison et qu’on ne peut anéantir qu'avec un emploi
massif d'herbicides. Résultat : des taux de pollution catastrophiques
qui affectent les animaux, les autres cultures, mais aussi la santé
humaine. Des plaintes ont été déposées et des scientifiques courageux
ont publié les premières enquêtes épidémiologiques sur les conséquences
sanitaires de la "sojisation".
En interrogeant les principaux
acteurs du dossier, ce reportage met en lumière les conséquences,
parfois dramatiques, des cultures transgéniques.
Roundup ready - Monsanto, 1996
Glyphosate
Raison de son introduction et utilisation : Faire face à la crise économique, d’où des achats massifs des paysans argentins : une « pépite d’or », pensaient-ils.
Aujourd’hui,
ils sont inquiets. Le soja a tout envahi. Les sols sont détériorés.
D’un point de vue économique, le bilan est positif, d’un point de vue
humain, c’est une catastrophe.
Aujourd’hui, 14 millions d’hectares couvrent les cultures en Argentine, soit presque 30 % des sols cultivés
Cela
n’a pas réduit la consommation d’herbicides, c’est même tout le
contraire. Les plantes, les mauvaises herbes sont devenues « tolérantes
» aux herbicides, donc il faut en utiliser davantage, répandre
davantage ou en créer de plus puissants : c’est un vrai « cercle
vicieux », disent-ils.
Colonisations des provinces les plus fertiles d’Argentine.
Ils appellent ça : un cauchemar sanitaire.
Si
la question reste ouverte... des données sont récoltées au quotidien :
problèmes de vomissement, maux de tête, diarrhée, problèmes de
thyroïde, de peau, de voies respiratoires et j’en passe.
Malheureusement,
tous ceux qui tentent de parler de ça sont « considérés comme des fous
», s’opposant au bonheur et à la prospérité de leur pays.
Pour porter plainte, ils ont besoin d’un rapport scientifique !
- manioc brûlé ;
- pieds de pomme de terre décimés ;
- préjudices : cultures et bétail anéantis.
La police et les politiciens essaient de faire taire ces agriculteurs.
Grande extension de soja entourée de petits producteurs, qui n’ont pas le poids de lutter
10 milliards de dollars : une manne.
Beaucoup de petits paysans ont vendu ou abandonné leur terre : à des gros producteurs, mais également à des investisseurs qui ne connaissent rien au métier : comme des fonds de pension par exemple !
Ils utilisent les médias, l’argent, puis font « des pressions ». Tout est planifié, affirment-ils.
Le
brevet de la société Monsanto est tombé dans le domaine public depuis
2000. Ils n’ont plus le monopole, alors ils ont décidé de demander
aujourd’hui des « royalties » sur le soja (la date du procès de
Monsanto coïncide avec les faits). Le conflit avec Monsanto est fort.
Ils menacent d’attaquer toutes les exploitations d’Argentine. Les
cultures transgéniques menacent le pays (Monsanto, Cargill sont en
cause) : « c’est un « modèle de production criminel », clament ces
agriculteurs, ces scientifiques indépendants.
« Nous voulons des campagnes peuplées de paysans ».
En
attendant, le soja continue sont extension : déforestation. 800 000
hectares partis en fumée. Malgré les règles mises en place décidées par
le ministère et face aux enjeux qu’est « l’argent », la loi est violée
en permanence, comme ces arrachages non autorisés.
Combien faut-il encore de preuves, de fait pour s’opposer aux OGM et à ses conséquences : perte de la biodiversité, des espèces. Sols altérés (ruissellements, inondations, manque de fertilité, etc.) ?
Quelle
est la position de nos pouvoirs publics sur cette question ? Nous
sommes en mesure de leur demander, au même titre que nous devons,
individuellement, nous la poser ?